Oyez, oyez, belles et beaux z’amapien.ne.s
Tiens. En guise d’introduction, je suis tombé sur ces paroles, complètement par hasard. Une chanson de l’excellent groupe de hard rock Français Trust, qui date de 1981, soit il y a 43 ans en arrière.
🎶🎵
Toi qui parles de nouvelles libertés
Fier de l’argent que ton père t’a laissé
Tu cracheras ta haine sur nous pauvres manuels
En répandant nos ghettos que tu nommes HLM
Tu veux que je vote pour te rassurer
Tu veux que je vote pour me sécuriser.
Je ne suis qu’un bulletin qu’on intoxique et qu’on glisse dans une urne
Je ne suis qu’un bulletin qu’on intoxique et qu’on glisse dans une urne.
Allez !
Tu as pour toi les « fout la merde », les contents d’eux
Tu as promis en un temps record de nous rendre heureux
Passe voir les vieux plus assez jeunes pour décider
Ils sont usés, fatigués, d’être consultés, dirigés
Tu veux que je vote pour mon équilibre
Tu veux que je vote pour être libre.
Je ne suis qu’un bulletin qu’on intoxique et qu’on glisse dans une urne
Je ne suis qu’un bulletin qu’on intoxique et qu’on glisse dans une urne.
…
🎼🎼
Bref. Sans doute ces paroles n’ont elles rien à faire ici, ce que je veux bien admettre. Mais il faut bien que je meuble un peu (disait Ingvar Kamprad, fondateur de Ikéa)
Et sinon, pour la distribution de ce jeudi, il y a du monde: du fromage, du pain, des légumes, des œufs et des petits fruits.
À jeudi donc.
L’écriveur qui ferait mieux de la fermer.