Oyez, oyez, belles et beaux z’amapiens,
Aujourd’hui, je te mets plein de photos et de trucs hyper intéressants à lire (si si).
Tout d’abords une belle photo de nos deux merveilleux (à plus d’un titre) maraîcher, pour illustrer la parution d’un article qui leur ait consacré, dans le progrès (oui oui, nous côtoyons du beau monde).

Le titre de l’article : Comment ces maraîchers travaillent pour « moins subir les extrêmes climatiques ». Et si tu cliques sur le titre, tu va dirèc sur l’article. C’est beau le progrès.
Au passage, je me permets (je pense que le bureau et certains de nos adhérents se joindraient à moi pour ce faire) de remercier ces deux là, pour le travail et les beaux produits (ce mot est pas trop bien choisi) qu’ils nous proposent chaque jeudi.
Ça ça ne passe pas dans le progrès alors que ça devrait. Parce que là aussi il y des vedettes. Voici quelques photos de la soupe à l’oignon que tu as pu déguster il y a quelques semaines en arrière.
Soupe à l’oignon réalisée avec les oignons données par le jardin des courtines. On s’est un peu fait tirer les oreilles par Sophie parce qu’elle nous aurait bien proposé un peu de sa production pour agrémenter la potion magique. C’est qu’on y a pas pensé dis donc! C’est fou ça! Ce n’est que partie remise.
Et pour finir, la grosse distribution de ce jeudi.
- Clément ou Nicolas avec pour les légumes.
- Ludo qui nous amène le pain de Marie et pis du vin et du jus de raisin.
- Gautier pour les agrumes (bon. C’est pas lui qui produit, mais c’est lui qui se casse
le c.lla nénette pour que nous puissions bénéficier de cette manne Corse. - Blandine avec ses herbes à foison: Aromates et tisanes.
- Sophie avec ses produits laitiers.
- Édith pour la viande de porc et veau.
- Élisabeth pour les œufs et produits à base de petits fruits rouge.
Ça fait du monde. Mesdames et messieurs les producteurs z’et trices, prenez bien soin de vous garer correctement, afin qu’il y ait de la place pour tout le monde. Des fois, on se dit que notre cour devient un peu trop petite et c’est bien.
Voilà. C’est tout ce que j’ai à dire.
A jeudi donc.
L’écriveur qu’essaie de ne rien oublier.